La contingence des effets[1] résulte de la complexité des liens logiques entre points de vues. Elle n'existerait pas si chaque paramètre de structure n'avait qu'un seul effet
La coévolution entre problème[2] et solution[3] est une conséquence de la contingence des effets.
La démarche RIF orientera vers une recherche de solution sans problème contingent[4] par utilisation des ressources[5].
Effets non voulus au départ d'une conception et dépendant de choix de moyens / paramètres de structures. Ce peuvent être des comportements, des fonctions, des affordances. Bénéfiques ou néfastes.
D'un point de vue global / pour le système vu dans son ensemble, c'est une non solution satisfaisante. Ce peut être une solution non définie, ou une solution non satisfaisante. Un état subjectif lui aussi.
D'un point de vue local : ensemble restreint de paramètres de structure, de règles et d'effets (comportement, fonctions...) non recevable. Il peut y avoir plusieurs problèmes locaux à traiter pour un même état de définition d'un produit.
Situation pour laquelle une application surjective d'un espace de moyens vers un espace d'effet est pleinement définie. Pour un produit physique : la structure d'un système est décrite par ses paramètres, les règles sont connues et appliquées. Les effets sont déterminés (comportement, fonctions, affordances). La surjectivité précise qu'aucun objectif n'existe sans moyen (structure) associé.
Problème apparaissant en cours de conception, liés à des effets contingents, donc dépendant de choix ou d'options prises sur des paramètres de structure.
On qualifie parfois l'évolution conjointe (coévolution) des problèmes et des solutions. Des problèmes dépendent de solutions antérieures. Des solutions acceptées génèrent de nouveaux problèmes.
Tout élément matériel (surface, pièce, ensemble de composants...) présent dans le système ou dans son environnement.... Que l'on cherchera à utiliser pour une résolution idéale d'un problème.
