Graphe documentaire

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Figure 21 : graphe documentaire - Enaction Series

Fiche d'identité

Nombre de sommets : 939

Nombre de liens : 1021

Degré moyen : 1,09

Degré sortant maximum : 30

Degré entrant maximum : 5

Nombre de sommets orphelins : 15

Nombre de fragments racines : 2

Interprétations

Le nombre de sommets total du graphe est raisonnable et permet une bonne lecture. Le degré moyen, très proche de un, montre que les fragments sont majoritairement mobilisés une unique fois pour la publication. Ce chiffre est classique dans la production de documents linéaires issus d'une tradition de l'imprimé. Seuls huit fragments sont réutilisés quatre ou cinq fois. Il s'agit majoritairement de références bibliographiques ou de sections plusieurs fois rappelées dans le déroulé du livre. Le degré sortant maximal montre que les fragments contiennent une quantité de contenu importante. Il est à mettre en relation avec le nombre relativement faible de fragments par rapport à la taille des ouvrages. Il est logique qu'un fragment contenant plusieurs pages, voire plusieurs dizaines de pages, référence un nombre important d'entrées bibliographiques.

Du point de vue de la structure du graphe, les fragments violets correspondent à l'ouvrage de Michel Bitbol (2013[2]), les verts à celui de John Stewart (2013[3]), les rouges aux fragments de description des auteurs et les jaunes aux fragments de description des glossateurs. On peut noter que la partie violette du graphe contient très peu de références entre chapitres. Les différents chapitres, sections, sous-sections et sous-sous-sections sont relativement indépendants et les références bibliographiques sont rarement utilisées à deux endroits différents. À l'inverse l'ouvrage représenté par la partie verte du graphe contient plusieurs références entre fragments de contenu où les mêmes références sont utilisées à partir de plusieurs fragments.