Les structures selon les relations de pouvoir
La structure hiérarchique[1] : prônée par H. FAYOL, elle privilégie les relations d'autorité, visibles dans sa forme pyramidale.
La structure fonctionnelle[2] : décrite par TAYLOR, elle introduit la division du travail des exécutants et donc des domaines de compétences des contre maîtres. C'est l'ère des spécialistes.
Tout salarié dépend de plusieurs chefs, chacun étant la référence dans son domaine d'activité.
Les relations de subordination deviennent alors beaucoup plus diffuses, surtout lorsque l'entreprise se développent.
La structure hiérarchico-fonctionnelle[3] (staff and line) : combinaison des deux structures précédentes, elle fait apparaître les relations hiérarchiques et la nécessité des liaisons fonctionnelles .
Celles-ci sont cruciales dès qu'il s'agit d'aider à la prise de décision.
Les personnes concernées par ces liaisons n'ont qu'un rôle consultatif.
La structure organique : Selon H. MINTZBERG, on distingue cinq parties fondamentales dans la structure d'une entreprise, cinq éléments constitutifs plus ou moins développés selon les choix des dirigeants, les contraintes économiques... :
Le centre opérationnel regroupant les personnes exécutant le travail de production, de vente... ;
La technostructure dont le rôle est de préparer, analyser et contrôler ;
Un support fonctionnel qui fournit l'aide nécessaire, la logistique ;
Le sommet stratégique qui fixe les objectifs ;
La ligne hiérarchique, allant de haut en bas qui assure les liaisons entre les différents niveaux.